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Programme 2018

Samedi 11 Août

Franz Schubert (1797-1828)

 

Sonate en la Majeur D 664 pour piano (1819)

I. Allegro moderato

II. Andante

III. Allegro

 

Nina de Félice, piano

Sonate en la mineur D 385 pour piano et violon (1816)

I. Allegro moderato

II. Andante

III. Menuetto: Allegro

IV. Allegro

 

Anastasiya Dzisyak piano, Andriy Ostapchuk violon

 

 

 

***Entracte***

 

 

Arvo Pärt (1935)

 

« Spiegel im Spiegel » (Miroirs dans les miroirs) (1978) pour piano et violon

 

Cette courte pièce est l’une des plus jouée du compositeur estonien. Elle fait référence aux illusions d’optiques du miroir infini, représentées ici par les triades (accords arpégés de trois notes) infiniment répétées au-dessous d’une mélodie étherienne . Rapidement populaire, cette œuvre dite minimaliste a été reprise d’innombrables fois au cinéma, au théâtre et dans des ballets.

 

 

 

 

A.Schnittke (1934-1998)

 

« Suite en style ancien » pour piano et violon (1972)

 

I. Pastorale

II. Ballet

III. Menuet

IV. Fugue

V. Pantomime

 

 

Anastasiya Dzisyak piano, Andriy Ostapchuk violon

Dimanche 12 Août

Eugène Ysaÿe (1858-1931)

 

Sonate n°3 (Ballade) opus 27 en ré mineur pour violon seul (1923)

 

Lento molto sostenuto. Allegro in tempo giusto e con bravura

Andriy Ostapchuk violon

 

L’un des plus célèbres violoniste de son temps, Ysaÿe a eu tant par son activité de violoniste virtuose et pédagogue que de compositeur une influence considérable sur le monde violonistique. Ses six sonates pour violon seul restent un immense défi pour l’interprète, chacune étant d’une grande difficulté d’exécution et richesse musicale.

 

Ernest Chausson (1855-1899)

 

Poème pour piano et violon opus 25

 

Anastasiya Dzisyak piano, Andriy Ostapchuk violon

 

Cette œuvre originellement écrite pour violon et orchestre fut dédiée à Ysaÿe qui l’interpréta pour la première fois en 1896, peu après sa composition. Magnifique élégie inspirée d’une nouvelle de l’écrivain russe Ivan Tourgueniev, elle reste la composition la plus populaire du compositeur.

 

 

Claude Debussy (1862-1918)

 

Quatre « Préludes » extraits du deuxième livre pour piano

 

La terrasse des audiences du clair de lune. La Puerta del Vino.

Les fées sont d’exquises danseuses. Général Lavine -eccentric-

 

Nina de Félice, piano

 

Chef-d’oeuvre tardif, les vingt-quatre Préludes marquent l’aboutissement pianistique de Claude Debussy. À travers une très grande précision d’écriture Debussy parvient en quelques traits à fabriquer un monde propre à chaque prélude.

 

***Entracte ***

 

 

Maurice Ravel (1875-1937)

 

« Ma mère l’Oye » pour piano à quatre mains

 

I. Pavane de la Belle au bois dormant

II. Petit Poucet

III. Laideronnette, Impératrice des Pagodes

IV. Les entretiens de la Belle et de la Bête

V. Le jardin féerique

 

Imaginés à partir de contes enfantins dont ceux de Charles Perrault, Ravel, pour qui l’enfance est un thème particulièrement cher, compose ces cinq petites pièces pour des amis. L’orchestration et le ballet qu’il en fera deux ans plus tard restent une de ses plus belle œuvre pour orchestre.

 

Georges Bizet (1838-1875)

 

Extraits des « Jeux d’enfants » pour piano à

quatre mains

 

1. L’escarpolette, Rêverie 2. La Toupie, Impromptu 4.Les Chevaux de bois, Scherzo. 6.Trompette et tambour, Marche 9.Colin-Maillard, Nocturne 11. Petit mari, petite femme, Duo 12. Le Bal, Galop

Anastasiya Dzisyak piano, Nina de Félice piano

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